lendemain, l'ether de faites
à l ombre de la nuit
s en retourne le drap violet
des lourdes entraves de velours,
et que se fige la trace des voleurs
du soleil noir d un coeur popeline.
les étangs surs aux papillent d éther
fôlatrent avec le diable plus que de raisons,
marchants sur le t aime d un glorieux hivers
à se chercher querelles des traverses oraisons.
la carriole d habit charmée funéraire
par ces dividendes pépillent amandes,
glissent aux longs des trahisons numéraires
en ce levé de soleil sur Samarcande.
mes yeux... mon oeil vitreux aubépine
plane sur ce coteaux pourpre sang de montagne
la ou bien des braves moururent des rapines,
et vivre la destiné en leur patrie l Angleterre ou finir Aubagne.
le cliquetis des armes s animent au son du buis
qui chantant de par un vent coulis désuet
au pied des oeuvres de la colline aux ours,
m instruit du droit ou tout doit sur l heure
en mon bras planter la vive mort fine.
la base de mes védiques sueurs assassines
l'éther
lapelleduvide 2010